VHEC
Expert comptable à Nice
04 93 78 44 51
VHEC, expertise comptable à Nice

C’est l’histoire d’un employeur qui prend son temps…


C’est l’histoire d’un employeur qui prend son temps…

Parce qu’il l’estime responsable d’un accident survenu le 1er mars, un employeur convoque un salarié le 26 mars à un entretien préalable et finit par le licencier pour faute grave le 6 mai. Une faute grave contestée par le salarié…

Pour lui, la « faute grave » qui lui est reprochée n’est pas si « grave », sinon son employeur n’aurait pas attendu 25 jours pour le convoquer à un entretien préalable en vue de son licenciement. Il rappelle que la faute grave est censée être celle qui rend impossible le maintien du salarié dans l’entreprise. Ce qui n’est manifestement pas le cas ici... Sauf que le salarié était en arrêt maladie, rappelle l’employeur qui a donc attendu son retour avant d’engager la procédure…

Mais cette circonstance ne justifie pas ce délai, trop long selon le juge : lorsque le salarié commet une faute grave, la procédure disciplinaire doit intervenir dans un délai restreint après que l’employeur a eu connaissance des faits allégués lorsqu’aucune vérification n’est nécessaire.

La petite histoire du jour - © Copyright WebLex


Articles similaires

Derniers articles

Dermatose nodulaire : extension des mesures de lutte contre la propagation

18 Déc 2025

Assurance récolte 2026-2028 : quelle indemnisation pour les agriculteurs non-assurés ?

18 Déc 2025

Apprentissage : du nouveau pour le niveau de prise en charge !

18 Déc 2025

Votre secteur :

Création et référencement du site par WebLex

Connexion